Omar l'a tuée

Vérité et manipulations d'opinions. Enfin une information contradictoire sur l'"Affaire Omar Raddad".
«En 1894 on condamnait un jeune officier parce qu’il avait le seul tort d'être juif ; en 1994 on condamnait un jeune jardinier qui avait lâchement tué une femme âgée sans défense. En 1906 Alfred DREYFUS fut réhabilité alors que Omar RADDAD est un condamné définitif. Un était innocent, l'autre est coupable ». - Georges Cenci

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Mot-clé - Film

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Interview accordée à Vaucluse-Matin

"Vaucluse-Matin" ; le 2 décembre 2008 L'affaire Omar Raddad remonte au 23 juin 1991, date du meurtre de Mme Ghislaine Marchal, à Mougins dans les Alpes-Maritimes. C’est certainement après l’affaire du malheureux petit Grégory celle qui a fait couler le plus d’encre. L’opinion publique la connaît à travers les rodomontades de quelques avocats et détectives privés qui se sont servis d’une certaine presse – complaisante puis complice – pour relayer leurs thèses à géométrie variable plus ineptes les unes que les autres.

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Omar m'a tuer, mais pas que

Article signé "GB" ; sur LeJournalInutile.com du jeudi 11 aout Il-y-a les films que l’on n’ira pas voir... Le plus souvent, il faudrait en parler avant qu’ils n’apparaissent sur les écrans, oui, parce qu’il-y-a parfois de très bonnes raisons de ne pas aller voir un film. Cela n’empêche nullement d’en parler, sans les avoir vus.

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Réponses à trois questions posées par courriel

Monsieur Cenci, vous avez essuyé des critiques et des pressions pendant 20 ans émanant des médias, de la défense et des comités de soutien. Tout cela a dû être particulièrement difficile à encaisser surtout avec votre devoir de réserve. Et psychologiquement vous avez dû être sérieusement affecté.

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L'affaire Raddad n'est pas l'affaire Dreyfus

Interview exclusive du site "LePoint.fr" du magistrat Laurent Davenas. Pour le magistrat Laurent Davenas, Omar Raddad reste coupable. Depuis vingt-cinq ans, l'affaire passionne les Français. Tracée sur la porte de la chaufferie avec le sang de la victime, la phrase "Omar m'a tuer" est gravée dans tous les esprits. "Omar m'a tuer", c'est d'ailleurs le titre du film qui vient de sortir. Un plaidoyer pour l'innocence du jardinier marocain, condamné à dix-huit ans de prison pour le meurtre à Mougins de sa patronne, Ghislaine Marchal. Même s'il a été partiellement gracié en 1996 par Jacques Chirac, Omar Raddad reste coupable aux yeux de la justice. L'avocat général à la Cour de cassation Laurent Davenas est celui qui, en 2002, a demandé et obtenu qu'on ne rejuge pas le jardinier marocain. Dans une interview exclusive qu'il accorde au Point, le magistrat réaffirme que la cour d'assises ne s'est pas trompée : Omar Raddad est bien le meurtrier. Un pavé dans la mare.

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