Rouart fait encore des siennes !
Publié le vendredi 13 novembre 2015, 12:15 - modifié le 21/12/16 - Actualités - Lien permanent
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Affaire Omar Raddad : Jean-Marie Rouart en appelle à François Hollande.
Dans une lettre ouverte publiée dans "Le Monde", l'académicien français demande au président de la République d'intervenir auprès de la Cour de cassation.
Et toute la clique des journaleux reprend en cœur.
L'ancêtre a-t-il oublié sa condamnation dans cette affaire, a t-il oublié son humiliation devant la cour de révision lorsque Laurent Davenas, l'avocat général, dans ses conclusions brocardait sa prétendue enquête (qui suivait les élucubrations d'un certain... Moreau !) déclarant qu'Omar n'était pas la construction d'un coupable et qu'il ne suffisait pas à l'accusation de poser un postulat de culpabilité pour accuser et qu'il ne suffisait pas davantage de poser un principe d'innocence pour être innocenté ?
Rouart, le ridicule ne tue pas ! Du haut de son incompétence le voilà à nouveau qu'il tente de faire pression sur la justice.
Faut-il lui rappeler que, dans une de ses tirades anaphoriques, François Hollande avait promis, je cite : "Moi président de la République je ferai fonctionner la justice de manière indépendante"?
Il n'y a pas d'incertitude judiciaire dans ce dossier comme il le prétend. Rouart est totalement incompétent pour parler de justice et encore plus pour évoquer le dossier du meurtre de Ghislaine Marchal. Il s'est empêtré tout seul dans ses fantasmes et ne peux plus faire marche arrière. Il n'en a pas le courage ! Cela nuirait à son prestige.
Et puis ne pas oublier la lettre ouverte publiée dans le Monde le 18 juillet 2011 par Maître Sabine du Granrut, avocate à la Cour et nièce de Ghislaine Marchal :
Monsieur l'Académicien, nul ne s'improvise avocat, c'est un métier. Nul ne peut prétendre être Zola sans le talent de Zola. Vous écrivez, dans Le Monde (daté 12 juillet) que la condamnation d'Omar Raddad "présente toutes les apparences de l'erreur judiciaire". Et vous avez raison, ce ne sont que des apparences ! Ainsi que l'écrit Philippe Bilger sur son blog "Omar Raddad innocent : c'est du cinéma". Apparences créées par les médias, les livres que vous évoquez, et surtout par vous-même dans votre modeste ouvrage, écrit alors que vous n'avez assisté à aucune audience du procès d'assises ni, à l'évidence, lu les documents contraires à votre thèse. S'il en était autrement, vous ne pourriez omettre que les "circonstances atténuantes", que vous évoquez si complaisamment, ont été demandées par l'avocat général "en raison de la jeunesse de l'accusé " et non pour quelque autre raison. Il n'y a qu'un seul dossier judiciaire qui a conduit à la condamnation d'Omar Raddad lors de son procès devant la cour d'assises de Nice, mais vous ne l'avez pas lu !
Enfin et surtout, vous n'avez pas relevé, ce que de rares journalistes ont fait, les propos d'Omar Raddad après la plaidoirie de son avocat Jacques Vergès, lors de l'audience tenue devant la cour de révision des condamnations pénales. Il a déclaré que, si Mme Marchal avait été vivante, elle aurait écrit : "Omar m'a frappée". Au lieu d'assister aux audiences, au lieu de consulter le dossier judiciaire avec rigueur, vous nourrissez régulièrement une hypothétique erreur judiciaire bâtie sur des hypothèses radicalement contredites par la réalité du dossier judiciaire. Le livre de Guy Hugnet - Affaire Raddad : le vrai coupable (L'Archipel) - est à cet égard intéressant. Est-il nécessaire de vous rappeler que pour cela vous avez été, en 2002, condamné, dans un jugement motivé ? Vous qui êtes manifestement sensible à l'injustice devriez témoigner plus de considération, voire de compassion, à la victime, la seule, Ghislaine Marchal, qui a inscrit à deux reprises le nom de son meurtrier, et dont, étrangement, vous niez délibérément le courage.
C'est la vis sans fin de la manipulation !
- Marjenka2 · 13 novembre 2015, 20:28
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ROUART et MOREAU !!! ... Les deux pieds nickelés ! ... Plus c'est minable ! ... Plus çà se sent et se croit important ! ...
Quant aux journaleux, je me souviens des propos d'un ami journaliste qui travaillait dans un quotidien régional.
Il se plaisait à dire que lors de ses études de journaliste, on lui avait appris que l'on écrivait en réalité pour une population d'âge mental moyen de 14 ans et demi !!! ... Cherchez l'erreur ! .... Et bien évidemment ses effets pervers ! ....
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