"Ce Raddad est un petit être démoniaque"
Publié le lundi 24 février 2025, 09:27 - Vos réactions - Lien permanent
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Courriel reçu de "Stefan", le 21 février 2025.
Mon Capitaine,
Je viens de terminer les quelques 400 pages de votre ouvrage. J'avais gardé souvenir de vous en 2002, lors de votre intervention dans l'émission "Faîtes Entrer l'Accusé" consacrée à ladite affaire. J'ai retrouvé dans vos mots la même rigueur, le même sens du devoir que jadis.
Ce Raddad est coupable, en droit et dans les faits ; vous en faites la démonstration implacable sans preuve alambiquée sortie du "tiRouart".
Ce Raddad est un petit être démoniaque (au sens Guidicellien) auquel son dieu ne rendra ; je l'espère ; pas grâce, lui.
J'étais jeune adulte dans ces années-là, et pourtant je me souviens parfaitement du battage médiatique pro Raddad, les hurlements stridents de son épouse à l'issue du verdict passés en boucle... Tout en travestissant le travail titanesque des parties prenantes à l'enquête. Raddad, gardé à vue pour un crime de lâche s'est plaint médiatiquement de n'avoir pu dormir à sa guise durant la procédure. Je n'ai pas souvenir que "France2", par exemple, se soit enquis de la qualité du sommeil des enquêteurs, magistrats, de la famille en 91, 94 ou 2025.
Logiquement la pensée unique des années 90 s'est désormais muée en wokisme, en bienveillance odorante. Aujourd'hui comme hier, J'aurai préféré que l'on fasse preuve d'empathie d'abord pour cette dame. Votre site, vos interventions, votre ouvrage réhabilitent son honneur. Le vôtre, vous ne l'avez jamais perdu.
Je vous souhaite la paix dans votre retraite bien méritée. L' espérant également pour Mme Marchal maintenant qu'elle a quitté cette foutue cave. Aucun de ceux qui vous ont fait cette guerre de salon (de "saloon" ?) au nom de la bien-pensance, n'aurait eu le courage de se risquer à aller au front, au quotidien, au prix de sa vie personnelle, psychologique, familiale, voire physique, parfois malheureusement. Ce courage-là, vous l'avez eu contre vents et marées. Cette paix du devoir accompli, en tant que Gendarme, mais aussi comme Humain soucieux de son prochain ; personne ne peut vous en dépouiller.
Bien cordialement.
Stefan.
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