Omar l'a tuée

Vérité et manipulations d'opinions. Enfin une information contradictoire sur l'"Affaire Omar Raddad".
«En 1894 on condamnait un jeune officier parce qu’il avait le seul tort d'être juif ; en 1994 on condamnait un jeune jardinier qui avait lâchement tué une femme âgée sans défense. En 1906 Alfred DREYFUS fut réhabilité alors que Omar RADDAD est un condamné définitif. Un était innocent, l'autre est coupable ». - Georges Cenci

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

Commentaire de Lectrice31 sur Amazon

A lire absolument. Je suis personnellement convaincue du récit du gendarme Cenci. Des faits, rien que des faits !

 

cinqsurcinq.jpg, sept. 2021

 

"La vérité est têtue" comme le fait si bien remarquer l'auteur : Toutes les tentatives de la défense pour disculper Raddad sont bizarrement vaines et le resteront !
Cette affaire me fait étrangement penser à celle du petit Gregory : des enquêtes initiales minutieuses menées par des directeurs d'enquête de la gendarmerie, des journaleux charognards, des avocats de la défense verreux, des intérêts politico financiers, les victimes oubliées, les enquêteurs traînés dans la boue, des proches de victimes visées (la mère dans l'un, le fils dans l'autre), des rebondissements farfelus, les intellos qui s'en mêlent (Duras dans l'un, Rouart dans l'autre). Le major Cenci aura toutefois eu la chance, lui, de tomber sur un juge d'instruction compétent. Je pense que le gendarme SESMAT aurait bien apprécié avoir le même...

 

(Source : Amazon.fr)

 

Georges Cenci

Administrateur : Georges Cenci

Restez au courant de l'actualité et abonnez-vous au Flux RSS de cette catégorie

Georges Cenci Georges Cenci ·  28 septembre 2021, 11:31

Tout est dit.

Ajouter un commentaire Fil des commentaires de ce billet

No attachment



À Voir Également

biblio.jpg

La liste des ouvrages sur cette affaire

(Date de parution de la plus récente à la plus ancienne)   "Les évidences de l'affaire Omar...

Lire la suite

Commentaire de "JimF" sur Amazon.fr

"Une explication convaincante du directeur d'enquête" Je n'étais pas né au moment de l'affaire Raddad et comme beaucoup, j'en savais ce que mes proches, les médias et mes manuels d'histoire en disaient : une enquête bâclée, un pauvre jardinier bouc-émissaire, victime d'une instruction basée sur des préjugés raciaux. L'affaire Raddad était, dans mon imaginaire et malgré mon faible niveau de preuve, une sorte d'équivalent plus moderne de l'affaire Dreyfus.  

Lire la suite