Omar l'a tuée

Vérité et manipulations d'opinions. Enfin une information contradictoire sur l'"Affaire Omar Raddad".
«En 1894 on condamnait un jeune officier parce qu’il avait le seul tort d'être juif ; en 1994 on condamnait un jeune jardinier qui avait lâchement tué une femme âgée sans défense. En 1906 Alfred DREYFUS fut réhabilité alors que Omar RADDAD est un condamné définitif. Un était innocent, l'autre est coupable ». - Georges Cenci

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OMAR RADDAD INNOCENT : LA TENTATIVE D'ESCROQUERIE A UNE NOUVELLE FOIS ECHOUÉ

Le tribunal médiatique dans l'impasse !

Depuis trente ans, le verbe insensé d'une Défense matamore aux logorrhées d'égotisme narcissiques, souvent fourbe, toujours opportuniste et sans une once de déontologie professionnelle, provoque des ravages dans la pensée de nombreuses personnes. C'est la victoire éphémère d'une imposture. C'est la défaite des stratégies judiciaires protéiformes des avocats qui se sont illustrés dans ce dossier.

 

Après Vergés, Noachovitch a pris une déculottée mémorable. La Bérézina pour celle qui, inlassablement, plaide mais sans contradicteur devant micros et caméras ! Force est de constater que ses prétendus faits nouveaux ― énoncés dans des galimatias égocentriques ― ont été rejetés comme il se doit par la commission d'instruction de la Cour de révision et de réexamen.

Mais avant que cette décision ne soit rendue, une nouvelle charlatanerie secouait l'opinion : une enquête prétendument secrète non révélée par la justice.. Il faut dire que le rapport du docteur Olivier Pascal, généticien commis par la commission, n'était pas du tout favorable à la Défense et mettait à mal les notes de synthèse du conseil en génétique consulté par cette dernière, Laurent Bréniaux, sur lesquelles s'appuyait Noachovitch pour étayer sa requête.

Révélation qui apparaissait opportunément avant que les hauts magistrats de la Commission d'instruction ne rendent leur décision. Et Noachovitch, comme il fallait s'y attendre, demandait à la dite commission d'investiguer sur ce sensationnel fait nouveau ! Ce qui fut fait. La commission démontrait que l'enquête n'avait rien de secrète car menée dans les formes et sur instructions du Parquet ni « enterrée » par la hiérarchie puisqu'elle a été communiquée in fine à cette autorité qui décidait du classement.

Je me demande parfois si les magistrats n'en ont pas ras la toque de ces prétendus faits nouveaux qui ont pollué cette affaire depuis 30 ans !

 

 

Ce dernier rebondissement, un remake du premier scénario de Roger-Marc Moreau qui mettait en scène Pierrot le fou et ses complices, n'aura pas pesé bien lourd après vérifications des magistrats. Cette cabale est l’œuvre du colonel de gendarmerie, Jean Sasso, qui s'est fait manipuler comme une bleusaille ridicule ; tout comme les capitaines Mathy et Vernet qu'il a entraînés à sa suite. Ces trois officiers auront généré une procédure à la fois grotesque, absconse, incohérente et effarante d'élucubrations, sans rapport avec le meurtre de Ghislaine Marchal. Ces gendarmes, comme l'a observé l'avocat général, auront vérifié tout l'environnement de la vie et l'entourage d' un certain Martial Benhamou mais pas l'allégation de la commission du crime. Curieux non ! Cette pseudo enquête n'a pas le début d'une apparence de sérieux ; elle n'est rien d'autre que du vent, de la fatuité.

 

Ces procès-verbaux n’apportent aucun élément objectif direct relatif au meurtre. Seule l'informatrice anonyme affirme, sans preuve ni élément concret, que Ghislaine Marchal aurait été tuée au cours d'un cambriolage. L'on peut s'interroger sur la valeur probante de cette procédure et on ne peut exclure des motivations de la dénonciatrice ni l'affabulation, ni la manipulation, ni la vengeance, ni la crainte. Cette dénonciation anonyme ne saurait être considérée comme un fait de nature à établir l'innocence du condamné ou à faire naître un doute sur sa culpabilité ; telle est la conclusion de la Commission d’instruction. Telle était la mienne bien avant qu'elle ne soit connue !

Depuis 30 ans ces scoops arrivent toujours opportunément polluer le dossier: lors de l'enquête de crime flagrant et de l'instruction ; après le procès ; avant la première requête en révision ; et aujourd'hui alors que la requête est pendante devant la commission d'instruction. Souvenez-vous ! : la première requête en révision présentée par Jacques Vergés l'avocat de Raddad échouait en 2002 avec un arrêt de rejet dûment motivé de la Cour de révision des condamnations pénales après des observations sans complaisance de l'avocat général devant ladite cour, Laurent Davenas. Pourtant les manipulateurs avaient employé les grands moyens : la sortie du film partisan de Roschdy Zem ; le film-documentaire sectateur de Saad Salman : Le procès K – Omar Raddad et le livre opportuniste de Eve Livet qui avait prêté son concours à Salman.

 

C'était la première tentative d'escroquerie et le premier échec ! Au plus haut sommet des instances judiciaires s'entend. Il y en eut tellement d'autres ! La deuxième tentative d'escroquerie était opportunément déposée en 2021 soit 30 ans après le meurtre de Ghislaine Marchal. Là encore échec ! Nouveau rejet mais cette fois-ci la requête n'a pas franchi la barrière de la commission d'instruction de la Cour de révision et de réexamen dont je salue la sagesse et le courage.

Pourquoi tentative d'escroquerie pour décrire ces deux démarches ? Tout simplement parce que ces deux requêtes ont été élaborées en grande partie à partir de l'enquête mercenaire d'un parangon de l'imposture bien connu, Roger-Marc Moreau. Celles et ceux qui me suivent sur ce blog ont eu l'occasion de lire mes billets sur cet arsouille, spécialiste des faits nouveaux.

Comment ne pas s'interroger sur l’honnêteté intellectuelle de ces piètres auxiliaires de justice peu regardant sur le sérieux des scoops de ces ténors de la magouille : Narenjo pour Girard et Baudoux ; Moreau pour Vergés puis Noachovitch !

Ni les auxiliaires de justice Baudoux, Girard, Vergés, Noachovitch et tant d'autres, ni Rouart l'aristocrate bâtisseur d'innocence, ni Fenech le rallié à la cause et porte parole de Noachovitch, ni Moreau leur suppôt, ni toute leur clique de laquais bien-pensants n'auront berné la plus haute instance judiciaire française. Comme l'a écrit Me Henri Leclerc dans ses Mémoires : « l'innocence de Raddad serait une forme d'escroquerie ».

L'ordonnance motivée d'irrecevabilité de la Commission d'instruction n'étant pas susceptible de recours, je la mets à votre disposition en ANNEXE ; vous permettra de comprendre les raisons pour lesquelles les magistrats ont rejeté la requête et en ce qui me concerne de ne pas argumenter davantage sur la question des fameux ADN dès lors qu'en 2002 la Cour de révision avait écarté leurs caractères significatifs au risque de pollution et surtout de l'absence de datation. Et aujourd'hui pas plus qu'en 1991 aucun expert ne pourra déterminer si une empreinte génétique a été laissée antérieurement, concomitamment ou postérieurement au meurtre.

 

Depuis qu'elle a succédé à Vergés, Noachovitch proclame haut et fort tel un mantra que la condamnation de Raddad est l'une des plus graves erreurs judiciaires du vingtième siècle. Je préfère lui opposer le mien qui établit que la prétendue innocence de son client est la plus grosse tentative d'escroquerie de ces cent dernières années. Une imposture avocato-médiatique.

 

Georges Cenci

Administrateur : Georges Cenci

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Marjenka 2 Marjenka 2 ·  13 octobre 2022, 17:29

Ha ha ha ! On le savait !
Et vlan ! ... Encore une bonne déculottée pour ces " bouffons" tous confondus, imbus de leur personne, courant après le succès et le fric, n' hésitant devant rien ! ... Mais qui ne sont bons qu' à se ramasser platement ! Et heureusement pour eux que le ridicule ne tue pas ! ....

Galtier Galtier ·  13 octobre 2022, 17:31

Je suis heureux de la sage décision, sans appel, de la Cour de cassation. La justice n’a pas été impressionnée par le battage médiatique autour de la nouvelle requête. Une fois encore, le verdict du procès est respecté, comme l’enquête initiale et les gendarmes qui en étaient responsables avec les magistrats, en premier lieu Georges CENCI à qui je rends à nouveau hommage ( cf. Mon livre mon combat contre le crime!).
En revanche je ne partage pas le sentiment de Georges CENCI sur les camarades qui ont conduit la fameuse enquête secrète qui n’avait rien de secrète. Ils ont fait à mon sens ce que tout OPJ doit faire en répondant à une requête de la justice à laquelle ils ont rendu leur conclusion. Manifestement, le dossier a été classé, faute d’éléments.

marco83 marco83 ·  14 octobre 2022, 13:51

Hier, 13 octobre 2022, sur la chaîne CNEWS, l'un des sujets de l' émission de Pascal Praud intitulée l' heure des Pros 2 (de 20h à 21h), concernait justement le rejet de la 2ème requête en révision. Etaient présents comme invités les inévitables Georges Fenech et Jean-Marie Rouart. Je vous passe le détail de la discussion, que j' invite ceux qui ne l' auraient pas vu à la télé à la visionner en replay sur le site de la chaîne, car cela vaut son pesant de cacahuètes, mais ce qui m' a frappé comme à chaque fois d' ailleurs c'est l' absence de tout contradicteur. Ces messieurs ont pu débité leurs mensonges et leurs inepties pendant une dizaine de minutes, aidés en cela par M. Praud lui-même, sans qu' aucune voix discordante ne s' élève.

Marc GHIGOU Marc GHIGOU ·  14 octobre 2022, 15:00

Bonjour M. Cenci,

On pouvait la souhaiter ardemment, comme on pouvait la redouter. Avec la Justice, il faut toujours rester stoïque et savoir être aussi patient que confiant. Mais la décision est tombée: la demande des "aboyeurs opportunistes" a été rejetée. Les magistrats n'ont pas succombé au chant de ces sinistres sirènes, pourtant soutenues par trop de médias qui se contentent de transmettre leurs fourberies, sans en vérifier le contenu univoque. C'est surtout et d'abord à votre personne que j'ai pensé ce jour.
En effet, votre personnalité autant que le rôle essentiel que vous avez manifestés au cours de votre enquête et de l'instruction du procès ne vous autorisent malheureusement guère à venir rappeler et exposer tous les tenants du dossier Raddad en écho aux campagnes mensongères et acharnées menées par trois ou quatre acteurs probablement guidés par d'autres intérêts que celui de vouloir à tout prix sauver l'honneur d'un homme dont la condamnation ne souffrirait d'aucune ambiguïté.

Vous souligniez, dans l'un de vos messages, l'insignifiance de votre blog comparé à la médiasphère manipulée par Noachovitch. Vous avez raison sur les proportions. Mais votre blog n'est pas insignifiant pour celui ou celle qui reste en quête de la vérité au sein même d'un dossier riche de faits et éléments incontestables. Il est non seulement une référence traitant de tous les aspects de cette affaire, mais il est aussi et reste une réponse complète, étayée et honnête de la manière dont ont été menées les investigations et l'instruction du procès aux assises. Votre blog, autant que votre ouvrage, mériteraient un rappel promotionnel général à toutes les rédactions écrites ou audiovisuelles de notre pays (...et du Maroc !) de manière à ce que tout journaliste digne de ce nom puisse connaître l'essentiel de ce dossier avant de se contenter de transcrire les déclarations d'une avocate hystérisée, d'un ancien magistrat politicien en mal de reconnaissance, d'un écrivain fantasque qui voudrait que son roman puisse devenir vrai. Sans parler des piètres Rouletabille sans foi ni loi, prêts à tout pour gagner quelque gloire en monnaie sonnante et trébuchante.

Vous, vous restez fidèle à vos principes, à l'ombre des agitations médiatiques, pour développer les éléments dans les moindres détails de ce qui fut pour vous l'une des plus importantes enquêtes qui vous ait été confiée.
Ce jour, c'est donc tout d'abord à vous que j'ai pensé. A la joie qui vous aura probablement envahi en apprenant cette décision. Une décision qui ne vient que corroborer la qualité de votre travail, même avec ses imperfections (comme dans toute enquête judiciaire d'ailleurs !), et une reconnaissance implicite de toutes vos investigations et conclusions.

Si j'étais encore en activité, je serais venu vous demander votre analyse de cette dernière décision de justice. Et mon papier de ce jour, aurait eu pour conclusion:

"Ce qui reste une particularité curieuse dans ce dossier, c'est que, depuis plus de trente ans, Omar Raddad ne s'exprime quasiment jamais sur toutes les procédures engagées dans son intérêt, que ce soit dans la presse écrite ou audiovisuelle. On ne fait que lire, voir ou entendre des défenseurs qui font le siège des médias pour clamer l' innocence de leur "protégé", en son nom mais en son absence, tout en dénonçant "l'injustice du siècle".
Ainsi, Omar Raddad, pourrait-il n'être qu'un faire valoir pour les uns ou, pire, une copieuse source de bénéfices pour les autres ? Car, quel peut être l'intérêt de ses défenseurs aujourd'hui ? Qu'il recouvre sa liberté ?: Il l'a obtenue depuis très longtemps, ayant, de plus, bénéficié d'une grâce présidentielle partielle (plus politique que judiciaire...). Une réhabilitation pour son honneur ? Ce serait bien évidemment honorable, juste et légitime si son innocence pouvait être prouvée au terme d'une défense qui avancerait des éléments intangibles et serait, avant tout, de nature à effacer tous ceux qui ont conduit à établir sa culpabilité et entraîner sa condamnation. Ce qui n'a jamais été le cas jusqu'alors.
Mais, le cas échéant, les indemnités et dédommagements accordés se chiffreraient à plusieurs centaines de milliers d'euros. Pour lui, comme pour ses défenseurs officiels.


 

C'est probablement dans cette absence médiatique (peut-être "conseillée") du principal intéressé que demeure, aujourd'hui, une rare énigme de cette affaire criminelle. Même si de trop nombreux médias se laissent encore emporter par le chant des sirènes au point de fabriquer une opinion, car se contentant de n'être que les vecteurs paresseux de mensonges et contrevérités ."

Denis BIGOT Denis BIGOT ·  16 octobre 2022, 13:51

Bonjour monsieur CENCI,

Oh oui !! J’ai suivi tout cela.
Les mousquetaires défroqués ont disparu des micros.
ILS SONT CUITS !
Celui qui m’horripile le plus après Noachovitch c’est encore Fenech!

Et bien sûr j’a lu votre article.
Il ouvre les oubliettes du monstrueux mensonge Raddad.

Votre blog sera une incontournable synthèse juridique
pour les chercheurs et historiens à venir.

Bien à vous.

Denis BIGOT

Alienor Kermorgant Alienor Kermorgant ·  16 octobre 2022, 15:18

@marco83 :

Bonjour,

J'ai vu cette émission, comme vous. La seule différence c’est que je n'ai pas été surprise car ce n'était pas la première fois que les choses se passaient ainsi. Il y a quelques mois, Jean-Marie Rouart déjà invité par Pascal Praud, était venu raconter les mêmes salades sans aucune contestation, non plus. Quelques jours auparavant, dans la même émission, Philippe Bilger avait voulu réagir lorsque Pascal Praud avait annoncé la venue de l’académicien. On lui avait coupé la parole et il n’a jamais été invité à apporter la contradiction à l’illustrissime académicien par la suite.
J’ai du mal à comprendre que sur une chaîne qui prétend parler de tout sans censure, cette dernière existe sur ce sujet. J’ai l’impression que les autres invités sont priés avant l’émission de ne pas poser de question trop pertinentes. On peut sans faire preuve d’imagination débordante qu’il y a du copinage médiatique dans cette manière de procéder.
C’est désolant.

Victor Victor ·  17 octobre 2022, 12:29

Enfin une bonne nouvelle dans l'actualité !

Michel Michel ·  19 octobre 2022, 16:54

Bonjour monsieur Cenci,

Je suis rassuré que la Justice n'ait pas cédé à cette meute de bien-pensants, agitateurs sans vergogne, ignorants de l'affaire Raddad, menteurs et irrespectueux du travail des gendarmes qui passent leur vie sans compter leurs heures au service des autres. Cela me révolte.

Monsieur Cenci, je vous admire au plus haut point. Votre loyauté, votre rigueur forcent le respect. Certains aboyeurs médiatiques patentés feraient bien d'en prendre de la graine. J'avais eu des échanges par courriel avec vous. J'avais eu l'idée de traduire votre livre en espagnol... Mais c'était un peu compliqué avec l'Editeur. Dommage. Je vous avais envoyé un article paru en Espagne sur l'Affaire et que j'avais traduit.... La même malhonnête intellectuelle transpirait. Et toujours le même schéma simpliste, binaire et insupportable : le jardinier marocain analphabète contre la riche veuve héritière.... Mais est-ce un crime d'être une riche héritière ? Pitoyable.

J'ai lu dans un des nombreux commentaires que vous recevez que l'on ne trouve qu'une seule vidéo sur Youtube où vous accordez une interview. C'est vrai c'est bien peu mais les personnes honnêtes comme vous n'ont pas besoin de vendre du mensonge et d'anesthésier la population.

Par contre il y a pléthore de reportages, d'interventions, d'opinions" (ah l'opinion !...) de personnes de mauvaise foi, qui n'ont pas assisté au procès et qui sont à mille lieux de la rigueur dont vous faites preuve vous et les hommes que vous avez dirigés.

Le seul journaliste que j'ai entendu au sujet de l'Affaire dans une émission où il faisait intervenir l'actuelle avocate d'Omar Raddad et qui m'a paru professionnel et honnête est Christophe Hondelatte. En tous les cas j'ai beaucoup apprécié qu'il dise "qu'il y a trop d'opinions" sur cette affaire et que lui n'a pas d'opinion à avoir. Il retient qu'Omar Raddad a été condamné par une Cour d'Assises selon les principes républicains de notre pays et que la Cour s'est prononcée en son intime conviction sur des charges nombreuses et suffisantes.

J'ai aussi vu une vidéo d'un illuminé du nom de Mohammed je ne sais plus quoi, qui intervient de manière un peu particulière on va dire, sur pas mal de sujets et qui s'exprimait sur l'affaire... J'avoue que j'ai été agréablement surpris de son analyse même si elle comportait des erreurs dues à des carences en droit pénal et à une connaissance du dossier parfois approximative.

Et oui magistrat, policier, gendarme, ce sont des métiers. Il n'y a pas de place pour l'improvisation... Et jouer les enquêteurs devant les caméras n'a rien à voir avec le vrai travail de notre police et de notre gendarmerie.

Au plaisir d'autres échanges avec vous. Bien cordialement.

Félix Félix ·  11 janvier 2023, 09:32

Sylvie Noachovitch a décidé de saisir la Cour européenne des droits de l'homme, prenant le risque de subir de ce côté-là une troisième déconvenue après celles de 1996 et 2005.

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